Plus que jamais, les choix offerts aux consommateurs sont innombrables. Combien de types de pains ou de yogourts parmi lesquels pouvons-nous choisir? Combien de modèles de téléphones cellulaires? Combien de formules de prêts hypothécaires? Même le lait, produit basique s’il en est un, n’échappe pas à cette multiplication.

Aujourd’hui, le consommateur a donc l’embarras du choix. Or, le choix est une bonne chose, mais pas l’embarras qui l’accompagne. C’est ce que Barry Schwartz appelle le paradoxe du choix (voir son excellent Ted Talk : http://www.ted.com/talks/barry_schwartz_on_the_paradox_of_choice). Car l’acte de choisir paralyse plus qu’il libère : il complexifie le processus, exige du temps et de l’analyse et réclame parfois de la connaissance. Et plus il y a de choix, plus le risque de ne pas faire le bon est grand…

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Accepteriez-vous de laisser, contre dédommagement monétaire (75 dollars), trois étrangers vous observer et vous filmer pendant que vous faites semblant, bien évidemment tout habillé, de prendre votre douche? Pour la grande majorité d’entre vous, la réponse est certainement non.

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