De l'importance d'un bon site Web : L'exemple Disney

Read more
Pendant des années j’ai reçu mon courrier dans un immeuble comme les autres : quelques lettres brunes ici et là et l’occasionnel paquet solitaire qui suscite la curiosité et l’envie du voisinage. Puis, oh miracle j’ai emménagé au paradis du colis, ou plutôt dans un immeuble où vit une très grande majorité d’X et de milléniaux. Tous les jours, c’est Noël dans la pièce de réception du courrier.
J’achète aussi en ligne, mais je n’avais jamais été confrontée à l’évidence même de l’ampleur des comportements d’achats en ligne des jeunes de ma génération. Dans cette fameuse pièce, on retrouve pêle-mêle des boîtes de détaillants, d’Amazon (la Mecque du magasinage en ligne), d’abonnements mensuels (OatBox, La petite boîte à vie, etc.), de prêt-à-cuisiner (COOK It, Miss Fresh, etc.) et même des boîtes d’épicerie. Selon une étude du Cefrio en 2014, 72 % des Québécois âgés de 18 à 44 ans ont effectué au moins un achat en ligne au cours de l’année 2013.
Mais qu’est-ce qui motive tout ce beau monde (moi y compris) à magasiner en ligne?
Nous disions, dans un article récent, que les avis en ligne(sur les Trip Advisor et Yelp, de ce monde) sont devenus des sources d’information incontournables dans le processus décisionnel d’achat des milléniaux. Cependant, encore en 2016, les pratiques de certaines entreprises sont douteuses et pourraient, à terme, nuire à la crédibilité que les consommateurs leur attribuent.
La preuve, j’ai récemment reçu un courriel de la part d’une auberge de jeunesse une semaine après avoir réservé un séjour pour mes vacances. Alors que je n’y ai encore jamais mis les pieds, je suis invitée à me rendre sur leur page Trip Advisor et à laisser un commentaire (évidemment positif) afin de courir la chance de gagner un séjour gratuit.