Qu’ont en commun les modèles d’affaires d’iTunes, Nespresso et Netflix, pour ne citer que ceux-là? Ce sont des innovations majeures, adoptées par des millions de consommateurs à travers le monde, qui ont radicalement transformé des industries. Ces succès planétaires ont su capitaliser sur une compréhension profonde du consommateur sur les trois aspects suivants : Ses besoins : ils ont bien […]
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Entrevues individuelles
4 août 2015
Il est maintenant possible d’établir une mesure objective des émotions en analysant les expressions faciales, véhicules universels d’émotions (sauf peut-être pour les joueurs de poker, passés maîtres dans l’art de les masquer!). De nombreuses solutions existent aujourd’hui (ex. : Noldus, Affectiva, Nviso, Emotient, Eyeris, Sension, etc.). La plupart sont basées sur les travaux de Paul Ekman, éminent psychologue américain, pionnier dans l’étude des émotions et de leur lien avec les expressions faciales.
Comment ça fonctionne? Alors qu’une personne regarde un stimulus donné sur son écran d’ordinateur (ex. : publicité), une webcam filme son visage en gros plan et y applique une grille de détection des expressions faciales. Ces expressions sont ensuite analysées à l’aide d’un système de codification faciale automatisé qui déduit les émotions de base (joie, surprise, tristesse, peur, colère et dégoût). Chacune de ces émotions est représentée par une courbe reflétant l’évolution en temps réel de l’émotion tout au long du visionnement du stimulus. Les résultats peuvent ensuite être analysés sur une base individuelle ou de manière agrégée (ex. : par groupe d’âge, selon le sexe, etc.). Il est ainsi possible de déterminer avec précision la nature des émotions ressenties, mais aussi le moment précis où ces émotions sont ressenties.
En savoir plus« If I had asked people what they wanted, they would have said faster horses”. Cette citation célèbre, attribuée à Henry Ford1, alimente toujours les débats. Des innovateurs notoires, tels Akio Morita et Steve Jobs, ont aussi avancé des points de vue similaires2. Est-ce nécessaire de demander aux consommateurs ce qu’ils veulent si des innovateurs de […]
En savoir plus3 février 2015
Imagine if sending an email would require as much thought and mental preparation as sky diving. Imagine that if every time you came across a piece of information – be it familiar or new – you would have to start from scratch. Talk about a waste of brain power!
Thanks to Cognitive Schemas, a set of processes defined by psychologist Jean Piaget in 1926, you can save precious brain power for other endeavors.
Cognitive schemas in action
The idea behind cognitive schemas is that the manner with which we receive, interpret, integrate and judge the value of new information is fundamentally automated to accelerate the whole process. If you’ve learned to hate a certain type of music, you’ll need only a second to recognize its first notes and get away from the shop playing it – this without even being conscious of it.
En savoir plusLorsqu’interrogé, dans le cadre de groupes de discussion ou d’entrevues individuelles, sur ses habitudes, ses préférences ou ses décisions passées, l’être humain avance spontanément une abondance de raisons rationnelles. Si l’on se fie à ses propos, les décisions d’achats sont uniquement basées sur des critères objectifs (prix, fonctionnalité, …) et la publicité ou la marque n’ont aucun impact sur les choix réalisés. Bien évidemment, il n’en est rien.
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