Les prétests réalisés par le biais de groupes de discussion sont une éternelle source de tension entre publicitaires et gens de recherche. Parlez-en aux créatifs ayant déjà subi le supplice de voir leurs concepts se faire détruire sans ménagement lors de ce genre d’exercice…

Ces prétests ont mauvaise presse. Et avec raison. Les groupes de discussion ont des limites indéniables (basés sur des concepts non finis, résultats non quantifiables, etc.) et leur réalisation est souvent déficiente (participants inadéquats, animation boiteuse, effet de groupe, interprétation superficielle, etc.). Trop souvent, ils tuent l’audace et conduisent à des réalisations convenues et aseptisées, qui peinent à performer dans un paysage publicitaire encombré.

Alors, les prétests peuvent-ils être utiles? Oui, s’ils sont bien menés.

Les prétests réalisés par le biais de groupes de discussion sont une éternelle source de tension entre publicitaires et gens de recherche. Parlez-en aux créatifs ayant déjà subi le supplice de voir leurs concepts se faire détruire sans ménagement lors de ce genre d’exercice…

Ces prétests ont mauvaise presse. Et avec raison. Les groupes de discussion ont des limites indéniables (basés sur des concepts non finis, résultats non quantifiables, etc.) et leur réalisation est souvent déficiente (participants inadéquats, animation boiteuse, effet de groupe, interprétation superficielle, etc.). Trop souvent, ils tuent l’audace et conduisent à des réalisations convenues et aseptisées, qui peinent à performer dans un paysage publicitaire encombré.

Alors, les prétests peuvent-ils être utiles? Oui, s’ils sont bien menés.

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CATÉGORIES : Études d'image de marque
22 avril 2014

La séduction en ligne entre humains suit les mêmes règles que la séduction des consommateurs dans un marché : un public cible bien défini et un positionnement clair, unique et pertinent.

La séduction en ligne entre humains suit les mêmes règles que la séduction des consommateurs dans un marché : un public cible bien défini et un positionnement clair, unique et pertinent.

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Récemment, l’humoriste Boucar Diouf a cité la blague suivante dans les pages débats du journal La Presse :

En 1985, année du fameux spectacle USA for Africa, on a posé la question suivante à la planète : Quelle est votre opinion sur l’état de la pénurie alimentaire dans le reste du monde?

Un sondage qui avait fait patate parce que les Éthiopiens interrogés ne savaient pas ce qu’est un aliment, les Européens ne savaient pas ce qu’est une pénurie, les Russes ne savaient pas ce qu’est une opinion et les Américains ne savaient pas ce qu’est le reste du monde!

Récemment, l’humoriste Boucar Diouf a cité la blague suivante dans les pages débats du journal La Presse :

En 1985, année du fameux spectacle USA for Africa, on a posé la question suivante à la planète : Quelle est votre opinion sur l’état de la pénurie alimentaire dans le reste du monde?

Un sondage qui avait fait patate parce que les Éthiopiens interrogés ne savaient pas ce qu’est un aliment, les Européens ne savaient pas ce qu’est une pénurie, les Russes ne savaient pas ce qu’est une opinion et les Américains ne savaient pas ce qu’est le reste du monde!

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Accepteriez-vous de laisser, contre dédommagement monétaire (75 dollars), trois étrangers vous observer et vous filmer pendant que vous faites semblant, bien évidemment tout habillé, de prendre votre douche? Pour la grande majorité d’entre vous, la réponse est certainement non.

Accepteriez-vous de laisser, contre dédommagement monétaire (75 dollars), trois étrangers vous observer et vous filmer pendant que vous faites semblant, bien évidemment tout habillé, de prendre votre douche? Pour la grande majorité d’entre vous, la réponse est certainement non.

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CATÉGORIES : Entrevues individuelles
11 mars 2014

Selon l’adage, « faire quelque chose sans y penser, c’est faire quelque chose bien et bien mieux qu’en y pensant ». Pour s’en convaincre, il suffit d’essayer de descendre les escaliers ou de lasser ses chaussures en étant « présent » plutôt que sur un mode automatique.

Cette réalité s’applique à de nombreuses habitudes de notre quotidien, habitudes que nombre de nos clients souhaitent décoder et comprendre afin de développer de nouveaux produits (baignoires, appareils téléphoniques, sites Web,…).

Se pose alors la question, pour les chercheurs que nous sommes, de comment comprendre ces modus operandi si les individus eux-mêmes n’en ont pas conscience?

Selon l’adage, « faire quelque chose sans y penser, c’est faire quelque chose bien et bien mieux qu’en y pensant ». Pour s’en convaincre, il suffit d’essayer de descendre les escaliers ou de lasser ses chaussures en étant « présent » plutôt que sur un mode automatique.

Cette réalité s’applique à de nombreuses habitudes de notre quotidien, habitudes que nombre de nos clients souhaitent décoder et comprendre afin de développer de nouveaux produits (baignoires, appareils téléphoniques, sites Web,…).

Se pose alors la question, pour les chercheurs que nous sommes, de comment comprendre ces modus operandi si les individus eux-mêmes n’en ont pas conscience?

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