CATÉGORIES : Actualités
2 juin 2016

Sans contredit, les « Milleniaux », ces jeunes âgés entre 18 et 29 ans, constituent une clientèle prisée et parfois difficile à atteindre et à séduire. Du moins avec les moyens traditionnels. La société change, l’économie se transforme et ce segment de la population est un reflet, voire l’incarnation de ces changements.

Plusieurs de nos clients nous mandatent donc régulièrement pour réaliser des projets afin de mieux la comprendre et découvrir les leviers qui fonctionnent auprès de celle-ci. Permettez-nous de partager avec vous quelques-unes de nos trouvailles :

QUI sont-ils?

Sans contredit, les « Milleniaux », ces jeunes âgés entre 18 et 29 ans, constituent une clientèle prisée et parfois difficile à atteindre et à séduire. Du moins avec les moyens traditionnels. La société change, l’économie se transforme et ce segment de la population est un reflet, voire l’incarnation de ces changements.

Plusieurs de nos clients nous mandatent donc régulièrement pour réaliser des projets afin de mieux la comprendre et découvrir les leviers qui fonctionnent auprès de celle-ci. Permettez-nous de partager avec vous quelques-unes de nos trouvailles :

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17 mai 2016

L’un des principaux apprentissages de l’économie comportementale, cette science qui s’appuie sur les recherches du psychologue et récipiendaire du prix Nobel Daniel Kanheman, est l’importance de l’environnement et du contexte dans la prise de décisions. Pour engager un consommateur, il est primordial de communiquer le bon message. Mais il l’est tout autant de le communiquer au bon moment et au bon endroit. Les technologies de microlocalisation et de « geofencing » constituent des outils hors du commun pour atteindre cet objectif, et ce pour les quatre raisons suivantes :

L’un des principaux apprentissages de l’économie comportementale, cette science qui s’appuie sur les recherches du psychologue et récipiendaire du prix Nobel Daniel Kanheman, est l’importance de l’environnement et du contexte dans la prise de décisions. Pour engager un consommateur, il est primordial de communiquer le bon message. Mais il l’est tout autant de le communiquer au bon moment et au bon endroit. Les technologies de microlocalisation et de « geofencing » constituent des outils hors du commun pour atteindre cet objectif, et ce pour les quatre raisons suivantes :

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I’ll admit it – I have purse envy.  There’s nothing more frustrating than watching a group of 18-year olds strut the latest Louis or Longchamp.  The curious thing is that more and more of them do!  As a market researcher and avid people watcher, I can’t help but ask myself since when has luxury become […]

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5 avril 2016

Je ne m’étais jamais intéressé au jeu de GO. Je savais qu’on y joue depuis plus de 4 000 ans en Chine et qu’il y a des pièces blanches et noires. J’ai aussi un vague souvenir d’une scène de « A Beautiful Mind » avec Russell Crowe où le mathématicien fait une crise après avoir perdu à ce jeu.

C’était jusqu’à ce que l’on nous promette un duel historique entre l’humain et la machine (un genre de DeepBlue vs Kasparov) un duel à finir entre l’intelligence organique vs virtuelle : AlphaGo contre Lee Sedol (qui serait considéré comme le meilleur joueur de GO au monde).

À écouter les commentateurs, l’affrontement n’avait rien d’amical ou d’inoffensif, une victoire de l’ordinateur signifierait que nous deviendrions, à terme, tous obsolètes au travail et, qui sait si AlphaGo ne se transformerait pas en SkyNet, le méchant ordinateur de Terminator. Le pauvre Lee Sedol avait tout le poids de la sauvegarde de l’humanité sur les épaules… et il a perdu, 4 à 1.

Je ne m’étais jamais intéressé au jeu de GO. Je savais qu’on y joue depuis plus de 4 000 ans en Chine et qu’il y a des pièces blanches et noires. J’ai aussi un vague souvenir d’une scène de « A Beautiful Mind » avec Russell Crowe où le mathématicien fait une crise après avoir perdu à ce jeu.

C’était jusqu’à ce que l’on nous promette un duel historique entre l’humain et la machine (un genre de DeepBlue vs Kasparov) un duel à finir entre l’intelligence organique vs virtuelle : AlphaGo contre Lee Sedol (qui serait considéré comme le meilleur joueur de GO au monde).

À écouter les commentateurs, l’affrontement n’avait rien d’amical ou d’inoffensif, une victoire de l’ordinateur signifierait que nous deviendrions, à terme, tous obsolètes au travail et, qui sait si AlphaGo ne se transformerait pas en SkyNet, le méchant ordinateur de Terminator. Le pauvre Lee Sedol avait tout le poids de la sauvegarde de l’humanité sur les épaules… et il a perdu, 4 à 1.

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22 mars 2016

Pour un fervent de hockey et de statistiques, l’avènement des statistiques dites « avancées » ajoute du piquant à un jeu qui s’est plus rapproché des échecs (défensives élaborées) que du basketball (attaques spectaculaires) ces dernières années.

En effet, de nos jours, tout y passe, des chiffres plates et simplistes tels le Corsi et Fenwick – basés sur une donnée aussi peu fiable que les tirs au but tentés – aux analyses plus en profondeur comme la zone dans laquelle certains joueurs sont plus utilisés ou la force de l’adversaire leur faisant face.

Tout est devenu sujet à interprétation – et on peut faire dire ce que l’on veut à n’importe quelle statistique. Par exemple, à une certaine date, en 2015-16, quand Carey Price était le seul blessé, le Canadien de Montréal avait une fiche de 6-2-2, alors que sans l’ailier Brendan Gallagher, le même club montrait une fiche de 5-11-2 – mais la moitié de ces matchs-là l’étaient aussi sans Price, alors on peut assumer que de perdre deux pièces-maîtresses fait plus mal qu’une seule.

Pour un fervent de hockey et de statistiques, l’avènement des statistiques dites « avancées » ajoute du piquant à un jeu qui s’est plus rapproché des échecs (défensives élaborées) que du basketball (attaques spectaculaires) ces dernières années.

En effet, de nos jours, tout y passe, des chiffres plates et simplistes tels le Corsi et Fenwick – basés sur une donnée aussi peu fiable que les tirs au but tentés – aux analyses plus en profondeur comme la zone dans laquelle certains joueurs sont plus utilisés ou la force de l’adversaire leur faisant face.

Tout est devenu sujet à interprétation – et on peut faire dire ce que l’on veut à n’importe quelle statistique. Par exemple, à une certaine date, en 2015-16, quand Carey Price était le seul blessé, le Canadien de Montréal avait une fiche de 6-2-2, alors que sans l’ailier Brendan Gallagher, le même club montrait une fiche de 5-11-2 – mais la moitié de ces matchs-là l’étaient aussi sans Price, alors on peut assumer que de perdre deux pièces-maîtresses fait plus mal qu’une seule.

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